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 Lothar SÖREN

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Sören

Messages : 26
Date d'inscription : 02/08/2010
Statut : Routard
Metier/Emploi : Marcheur / Convoyeur

Feuille de personnage
Vie:
Lothar SÖREN Vie_011013/13Lothar SÖREN Vie_0210  (13/13)
Energie:
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Lothar SÖREN _
Lothar SÖREN I_icon_minitimeJeu 19 Aoû - 9:52
Fiche de personnage


    Prénom : Lothar
    Nom : SÖREN
    Surnom : Fût un temps, ses amis l’appelaient Loth, mais ça fait une paye que le surnom n’a pas résonné à ses oreilles. Depuis qu’il est rentré à Phénice, il se présente sous le nom de Bërgson.
    Genre : Homme.
    Age : Entre 35 et 40 ans, mais personne ne pourrait être plus précis, même pas lui.

    Caste : Marcheur.
    Archétype : Convoyeur.

    Joueur : Sören.

    Description rapide : Lothar est un solide gaillard d’un âge respectable, typé du nord de la Roke. Son caractère aussi vient du froid : taciturne si vous le connaissez mal, loyal à l’extrême si vous vous en êtes fait un ami, c’est un roc. Marcheur expérimenté, convoyeur reconnu, il revient à Phénice après des années d’absence. Il paraît qu’il est de retour de Solaria. Mais bien malin celui qui lui fera parler de cette dernière expédition…


Lothar SÖREN 56218023

Informations

    Description Physique :
    « Lothar ? Lothar, fils, c’est un pur produit du nord d’la Roke. Tout le gueule en lui : son nom, sa stature, ses cheveux clairs, son caractère. Tout quoi. Il porte moustache et barbe, ses cheveux sont longs, et j’peux te dire que le tout forme une sacrée tignasse autours de sa gueule de marcheur.
    Il est pas spécialement grand, Lothar, mais il est bâti au carré, et lorsqu’il veille près du feu de camps, immobile, on croirait que c’est un gros rocher qui alimente les flammes du foyer. J’m’y suis trompé, une fois, juré. Ses mouvements sont lents, mais volontaires : quand il a décidé de sortir de son immobilité coutumière, fils, j’t’assure que c’est pas pour s’arrêter en chemin. Dans ses yeux verts, on lit toute la détermination de l’homme qui sait ce qu’il fait et ne se détourne pas des obstacles. C’est simple : si un razorback pouvait avoir les yeux verts, j’dirais qu’il a le regard d’la bête. Ce regard qui te fait dire ‘ce gars là, il est pas là pour m’emmerder, mais vaut mieux pas que j’le titille’.
    Ses fringues ? Bah des frusques de marcheurs, quoi d’autre ? Ce genre de matos que tu vois que dans les caravanes, des trucs bien solides et fonctionnels. Bonne qualité. Pas grand chose à dire de plus, si ce n’est qu’une fois j’ai vu des sachets de poudres et de graines dans son havresac. Ah, tu t’en fous de ça ? Et l’Ankh de Nâh qu’il a autours du cou, tu t’en tapes aussi ?
    Tatoué ? Des cicatrices ? Qu’est-ce que tu crois, que je couche avec ? Ben y’a la cicatrice sur son front, déjà, mais celle-là tout le monde peut la voir. Moi, j’l’ai vu torse nu une fois, et j’peux te dire qu’il a de sacrées traces dans l’dos. M’est avis qu’il a tâté du fouet, dans l’passé. Mais j’lui ai jamais posé la question. Rapport à ses yeux de razorback, tu t’souviens ? »
    Discussion avec Marty ‘Grande gueule’
    Halte Nord


    Description Psychologique :
    « Je suis très fier d’avoir eu Lothar Sören comme ami. Je l’ai toujours considéré comme quelqu’un à part, en cela qu’on peut faire confiance à sa parole : quand il a décidé quelque chose, il s’y tient, et c’est assez remarquable pour le citer. Mon expédition n’aurait sans doute pas été si loin, sans lui. Sa volonté est impressionnante, et j’ai plusieurs fois été surpris par sa force de caractère. Je l’ai vu, imperturbable, poser fermement son pied sur le bout du manche de son esponton et attendre solidement la charge d’un yak en débâcle alors que celui-ci fonçait sur notre groupe. Il a du sang froid et une grande détermination. Le genre de personne sur qui on peut compter.
    Bien sûr, il a les défauts de ses qualités : s’il est volontaire, il est à même mesure têtu et borné. Combien de fois ai-je levé les yeux au Noir Nuage en soupirant, demandant à Solaar pourquoi mon compagnon était si obstiné ! Quand il a décidé quelque chose, il ne revient pas en arrière, pour le meilleur comme pour le pire. Mais au moins est-il loyal – à la vie à la mort. Si je vous parlais de l’anecdote du yak, c’est parce que depuis que je suis resté à ses côtés ce jour-là, brandissant mon bâton de marche, mettant ma vie en péril parce qu’il était évident qu’il ne reculerait pas, je suis devenu son Ami. Avec un grand A.
    C’est un homme de valeurs. Pour lui, il y en a peu d’importantes, mais elles sont sacrées : la vie, et la famille. Dans ce monde bercé de ténèbres, après le cataclysme qui a pulvérisé la vie sur cette terre, cette Vie – LA Vie – est devenue encore plus inestimable pour lui. Il aurait dû être Préserveur, je le lui ai souvent dit. C’est ce qui m’a plu, chez lui. C’est pour cela que je l’ai choisi pour l’expédition.
    Ah, Loth, mon ami ! Il adore ronchonner, c’est un râleur basique, ‘ça vient du nord, comme ce havresac !’ dit-il souvent. Mais ne vous laissez pas berner par ce masque bourru : comme tout le monde en Sombre-Terre, il en a vu de rudes, et il vous enverra bouler jusqu’à ce que vous lui prouviez qu’il peut avoir confiance. Si vous arrivez jusque là, un conseil : ne le décevez pas. Vous n’aurez jamais de seconde chance. ‘Traître un jour, traître toujours’, ça aussi c’est de lui. Moi ? Oh, moi, c’est différent : je meurs ce soir, vous vous souvenez ? Alors je suppose que cela n’a plus vraiment d’importance…»

    Confessions d’Ayrat Leagson au Psyhia Akym Ibn Dour - Extrait


    Histoire :
    « J’ai abandonné ma femme et mon fils en espérant gagner gros, et j’ai tout perdu. La voilà, mon histoire.

    Hein ? Comment ça, tu veux en savoir plus ? Hé, t’es pas Gardien du feu, et moi j’suis pas conteur.

    Pfff…

    Mon nom c’est Sören, et pour le prénom c’est Lothar. Je suis né dans le nord de la Roke, je sais pas trop où. Pour le quand, probablement un peu avant 280. Lignée de marcheurs pure souche, ouais m’dame, ouais m’sieur. Clan de nomades, arpentant Sombre-Terre. J’me souviens à peine de la lumière du stallite qui m’a vu naître, que mon clan a quitté quand j’avais six ou sept cycles, et j’ai grandi dans l’Obscur, les luxances et les bougies en guise de Solaar, les cahots des chariots en guise de berceau.
    Que veux-tu donc que j’te raconte ? J’ai grandi, j’ai appris la marche, j’ai affronté l’Obscur. On a bourlingué, on a eu des joies, on a eu des pertes. Je suis devenu un jeune homme. Puis un homme. Nos vieux devenaient trop vieux, mes amis et moi étions en âge de diriger la caravane. C’est c’qu’on a fait. Et on a commencé à obliquer vers le Sud. C’est à cette époque que je me suis uni à Maïa, à cette époque aussi que mon père a fini par rendre son âme à Solaar.
    J’l’ai déjà dit : nos vieux devenaient vieux, il était temps de faire du jeune. Le temps de la Pause était venu, comme on dit, et la pause ce fut Phénice. Le stallite immortel nous accueilli à une époque où on ne parlait pas encore de problèmes à l’Est ni de réfugiés de malheur. Nous sommes restés des années, les femmes pondant des gosses et les élevant, les hommes se relayant dans des marches sur le Plateau de Silice, comme guides ou convoyeurs, pour assurer du revenu. C’est que les chances de survie d’un môme, dans un stallite, elles augmentent sacrément. Au second essai seulement, Maïa eut un enfant viable qui passa le cap fatidique des trois cycles. On l’appela Angel.
    Ah, foutreneige, c’était la belle vie : avec nos gueules du nord on avait gagné une petite réputation dans les haltes. Les vikings, qu’un conteur nous avait surnommé. Le troc marchait à fond – les lux étaient pas encore monnaie courante, c’est l’cas d’le dire – et on bossait dur pour survivre. C’était pas facile tous les jours, mais pour beaucoup de membres de la caravane, la vie était plus belle sous la lumière de Solaar.

    ‘Pas plus de dix ans, fils, pas plus de dix ans ou tu ne repartiras jamais !’ m’avait dit mon père, quand j’étais gamin et qu’il m’expliquait ce besoin récurrent pour un clan nomade de se poser de temps en temps. Et je n’avais pas besoin de compter les années, mon fils grandissant à la vitesse du vent. Chaque année, pendant le Gras, le conseil de la caravane se réunissait, nous discutions entre nous et repoussions la date d’un hypothétique départ. Pour certains, à contrecœur. C’est qu’on a ça dans les veines, tu comprends ? Si je n’avais pas mené quelques marches autours de Phénice, je serais devenu fou, et quelquefois cela ne me suffisait plus. Mais Maïa avait une santé fragile depuis son accouchement, et Angel n’avait que sept ou huit cycles ! ‘Attendons qu’il ait 13 cycles, Loth ! Ils lui grefferont le cristal, il deviendra citoyen Phénicien. Ce sera bien pour lui !’ me répétait ma femme.
    Tu parles. On vivotait à peine, créchant dans les Abords ou les Haltes selon l’abondance de travail. Elle voulait une vie de Phénicien pour son fils, et pour nous-mêmes. Or on avait pas de quoi se payer une piaule décente, même dans la Ceinture de Nux.
    C’est à c’t’époque que Ayrat m’a parlé de son projet. Il avait un commanditaire qui était prêt à engager quelques ‘vikings’ pour convoyer des biens vers Nâh. Nâh, ça faisait une sacrée trotte, c’était bien plus loin que ce qu’on s’était fixé durant la Pause : normalement on quittait pas le Plateau de Silice. Mais j’ai même pas eu le temps de dire non : Ayrat a levé sa belle main de Nourrisseur et m’a dit ‘il paie en lux, et il peut nous avoir la citoyenneté’. Même aujourd’hui, j’avoue, j’suis obligé de dire que ça méritait réflexion.
    Y’en a pas mal qui ont gambergé, et finalement pas mal qui ont dit non à Ayrat. On est parti qu’à huit. J’étais sûr de moi, de mon côté. Je le faisais pour ma femme. Pour mon gosse. Ouais, bon, aussi pour moi : la marche m’appelait sévère.

    J’te raconterai la marche proprement dites un autre soir, si tu veux bien. Tu voulais un résumé de mon histoire, non ? Bon ben la marche, ça a été une marche quoi. Obscur, bourbiers, bestioles et morts. Disons que les pertes étaient acceptables étant donnée la distance.
    T’es déjà allé à Nâh ? Eh ben, c’est beau. Voir Phénice de loin quand tu arrives, c’est magnifique, mais je crois que Nâh c’est encore plus spectaculaire.

    Jusqu’ici donc, on s’en sortait pas mal. On avait fait la première partie du boulot : arriver en vie à Nâh. Ensuite, fallait livrer, et c’est là que le contrat a commencé à sentir des pieds. Ayrat était un bon ami, et je l’avais suivi les yeux fermés sans poser de questions : c’était son expédition, et s’il ne m’avait pas donné de détails c’est que je n’avais pas besoin de savoir. La confiance, chez moi, c’est sacré. Mais il s’avère que notre marchandise avait sans doute quelque chose de louche – me demande pas, aujourd’hui encore je ne sais pas ce qu’il y avait dans la malle.
    Nous devions livrer dans l’Arantèle Royale. C’est un peu la « porte de derrière » du Stallite. Ayrat avait un contact à retrouver. On devait livrer, se faire payer en partie pour se procurer l’équipement de retour, et reprendre la route. Sauf que le secret de l’expédition avait été trahi quelque part, et qu’on est tombé dans un piège. Apparemment, le nouveau Roi de l’Arantèle – un gros type borgne – était le fils de l’ancien, mais n’avait pas trop le même caractère. Bref, au moment de livrer on est tombé dans un sacré traquenard. Plusieurs amis y sont morts. Ayrat, Ferguson et moi, on a été capturés, avec la malle. Ayrat a aussitôt essayé de négocier… et cet enfoiré n’essayait pas de sauver nos vies. Il a tout proposé pour que le Borgne lui permette de livrer la malle à son destinataire : notre dévotion en tant qu’esclave, jouer les espions n’importe où, nos vies. Tout lui semblait sacrifiable pour sauver cette foutue malle. J’étais écœuré.
    Ferg et moi, on a été battus et torturés. Ils voulaient connaître le commanditaire et le destinataire, et comme nous n’étions pas au courant, on a morflé grave avant qu’ils comprennent qu’on avait rien à dire. Ils m’ont fouetté au sang, ils m’ont broyé une jambe à coups de masse. Le tout sous les yeux d’Ayrat, qui n’a pas plié. Il n’a rien dit. Alors le Borgne a programmé une exécution publique : il a laissé une journée à Ayrat pour lui donner les informations, sous peine d’être lynché dans la tranchée principale de l’Arantèle. Mais les informations d’Ayrat devaient être bigrement importantes, car il n’a pas cédé. Et il s’est fait lynché.

    Ferg et moi, on était au fond du trou. On était seuls, blessés, perdus. Plus frustrant encore, on savait même pas pourquoi on en était là. Et on avait la haine contre Ayrat, même si ça servait plus à grand-chose.
    Le Borgne s’est désintéressé de nous. Il nous a ‘donné’ à ses hommes. Ferg est devenu esclave dans les tranchées. Moi, avec ma jambe détruite, je suis devenu cobaye pour des apprentis carabins qui s’entraînaient sur moi.

    Ouais, ça fait peur dit comme ça, mais j’ai été chanceux : un type m’a pris sous son aile. Un Psyhia, du nom de Akym Ibn Dour. Il avait une petite aura chez les Tolérés. Je sais pas pourquoi, mais il m’a servi de protecteur. Très vite il m’a fait changer d’Arantèle. Après quelques semaines il m’a dit que Ferg était mort dans les tranchées, et que ma seule chance de survie était de postuler en tant que citoyen et de quitter les Arantèles. ‘Moi citoyen de Nâh ?’ que j’me suis marré. Mais il plaisantait pas, et j’ai vite compris que c’était effectivement mon unique porte de sortie : avec ma jambe en vrac, sans octas et sans amis, impossible d’envisager une marche retour vers Phénice. Akym m’a donné de nombreux conseils, et ma gueule était assez inhabituelle pour que j’attire l’œil des décisionnaires. Au second essai ma candidature a été retenue.

    Akym avait parlé de moi à l’un de ses amis. Abid Sala était nourrisseur dans une pyramide nourricière. Il vint vers moi dès mon entrée boiteuse sur la Grande Voie, et me prit sous son aile à son tour.

    C’que j’ai foutu ? J’ai rongé mon frein : Abid traitait ma jambe, qui me faisait horriblement souffrir. Pendant des années, j’ai cru ne jamais pouvoir remarcher sérieusement. En compensation de ses soins, je l’aidais comme apprenti et homme à tout faire. Je semais, arrosais, récoltais. J’ai appris pas mal de trucs sur les plantes, je suis devenu un petit nourrisseur. J’avoue, ça m’a pas déplu. Mais avec ma tronche, j’ai jamais été très considéré : je me suis bien fait quelques contacts, mais ça a surtout été une vie de solitaire. Seul Abid discutait longuement avec moi, soit des plantes et de la nature, soit de ma jambe.

    Il y a deux ans, il a dit qu’elle était guérie. Je l’ai regardé avec des yeux ronds : j’avais encore un mal de chien, que j’atténuais avec des drogues qu’il me fournissait. Il m’a confirmé qu’il ne pouvait rien faire de plus : sans doute qu’un bout d’os touchait un nerf, ou quelque chose comme ça, avait dit un ami carabin, mais la jambe en elle-même ‘fonctionnait’. A la vérité, quand je prenais ses drogues, j’étais capable de marcher avec un naturel certain. Je ne boitais plus que lorsque les produits perdaient de leurs effets. Et des effets, ils en avaient aussi des secondaires, bien sûr : j’étais dans une légère torpeur en permanence, comme si j’avais un peu bu. Je m’endormais souvent. Mais tout vaut mieux que cette douleur, crois-moi.
    Je lui ai dit ‘et maintenant ?’, et il m’a répondu ‘tu peux rentrer chez toi si tu veux’. Avec un petit air énigmatique. Alors c’est ce que j’ai fais. Je me suis joint à une caravane de lumière qui remontait vers Phénice. Abid m’a fourni une bonne quantité de graines de pavot, et m’a appris à concocter l’additif que je dois prendre avec. Les composantes sont trouvables à Phénice, même si ça risque de me coûter une couille à chaque fois que je devrai me réapprovisionner.

    Bien sûr que non, j’suis pas stupide : je sais bien que toute cette histoire – Ayrat, Akym, Abid – a quelque chose de louche qui n’est toujours pas éclairci. Je suis même pas sûr d’avoir les réponses un jour. Qui était Ayrat ? Que devait-on livrer, dans cette putain de malle ? Pourquoi Akym puis Abid ont estimé que je serai plus utile vivant que mort ? Des fois j’y pense ; et des fois j’m’en tape. Je suis bien loin de Nâh désormais. N’empêche que, sans être parano, j’me fais discret. Rapport au mystérieux commanditaire d’Ayrat. Evite de m’appeler Sören, tu veux bien ? Bërgson, c’est le nom que je donne maintenant. Après tout ce temps, plus personne ne se souviens de Lothar Sören, sans doute. Mais on n’est jamais trop prudent, hein ?

    Oh, bien sûr, ça fait presque dix cycles que j’suis parti de Phénice. Mon clan, ça fait un bail qu’il n’est plus là. Avec Maïa, on avait un lieu où se retrouver, à chaque période de Gras. Etant données les coches que j’y ai vu, ça fait un sacré paquet de cycles qu’elle est partie.

    Et j’suis de retour à Phénice, seul et comme un con.
    Fin.
    Alors, elle t’a plu l’histoire ? »

    Lothar Sören, discussion tardive à l'Assomoir



Informations supplémentaires

    « Sa femme ? J’sais pas trop, mais y’a un gars qui m’a dit une fois qu’il avait croisé un clan nomade du nord du côté du Nid des Aigles, y’a deux ou trois cycles. Mais impossible de savoir si c’était bien celui de Lothar, ni même si sa femme et son gosse y sont. Y sont peut-être crevés. Ou sont peut-être ici, quelque part, dans une halte ou une autre… Les voies de Solaar, hein !

    Ayrat Leagson ? Pourquoi vous voulez que je vous parle de Ayrat Leagson ? Mort à Nâh. Exécuté en place publique, sûr que j’suis sûr. Z’avez l’air déçu. Un ami à vous ? Nan ? Bon, ben je retourne à mes bêtes hein. Faut pas croire, mais ça d’mande des soins, et les marcheurs qui louent mes Yaks veulent pas les voir boiter au bout de trois lieues. Ravi d’vous avoir rencontré. A une prochaine. Ouch ! Hé, vous avez une sacrée poigne l’ami. Oh, elle est belle votre bague ! On dirait… non, sans blague, elle est bien en BOIS ? Vrai de vrai ? C’est quoi, ce symbole gravé dessus ? On dirait un arbre. Non ? Bon… »

    Discussion avec Marty ‘Grande gueule’
    Halte Nord


Caractéristiques

    Statut : 2 (Routard)

    Prestance : 1
    Habilité : 1 (malus du aux drogues que Lothar prend pour atténuer la douleur à sa jambe)
    Résistance : 4 (+1 dans l'Obscur)
    Hargne : 2 (+1 dans l'Obscur)
    Trempe : 4 (+1 dans l'Obscur)

    Compétences :
    Marcheur : Ces hommes passent leur temps dans l'obscur à faire les liaisons entre les différents stallites. C'est pourquoi ils connaissent bien leur environnement, les malus dus à l'Obscur leurs sont réduits de 1 et leurs sens se sont affutés dans ce milieu, ils gagnent +1 en HARGNE dans l'Obscur. Ils maitrisent d'ailleurs tous la Technique de Lumière au niveau 2.

    Convoyeur : Vous transportez les biens des marcheurs de stallite en stallite. Il vous arrive aussi de convoyer des personnes énigmatiques, des célestes puissants comme des messages précieux. Vous avez appris à dominer la peur de l'obscurité et savez survivre aux conditions extérieures. Votre résistance et votre endurance sont exemplaires et imposent le respect au sein d'un convoi, vous pouvez ajoutez +1 en TREMPE et en RÉSISTANCE en milieu hostile.

    Nourrisseur : En tant que nourrisseur, la subsistance n'est pas un problème, vous ne pouvez devenir affamé au sein même du stallite. Hors stallite, vous savez repérer ce qui est comestible ou non, facilitant la survie en milieu extérieur. Votre connaissance dans l'artisanat du Vivant est de 2.


    Possessions :
    Des vêtements de voyages, fonctionnels et robustes, typés Solariens (protection 1)
    Filtre à air (indice 1)
    Vieil Esponton qui en a vu de rudes, l'une des pointes est un peu tordue
    Luxance en bon état
    Une Ankh de Nâh (peu d’accès, pyramides nourricières principalement)
    Un gros havresac, contenant une couverture, des gamelles, deux incandescents
    Quelques sachets contenants des poudres et des graines diverses (dont un sachet de graines de pavot)

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Sombre-terre

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Lothar SÖREN _
Lothar SÖREN I_icon_minitimeVen 20 Aoû - 20:38
Je te valide =)

Un personnage donc costaud et tetu, c'est le moins que l'on puisse dire. Très intéressante présentation x)

Tu peux, dès a présent, commencer à Rp et à jouer. Tu peux d'ailleurs commencer à faire ta fiche de RP

Bon jeu a toi et bienvenue dans Sombre-terre !
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Sören

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Lothar SÖREN I_icon_minitimeVen 20 Aoû - 21:16
Un grand merci, cher Admin !
(C'est toi qui t'occupes de déplacer ce post dans la partie "fiches validées" ?)

C'est parti, alors...
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