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 Shizu Otto

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Shizu

Messages : 13
Date d'inscription : 20/07/2010
Age : 33
Statut : Larve
Metier/Emploi : Geisha - Assassin

Feuille de personnage
Vie:
Shizu Otto Vie_01109/9Shizu Otto Vie_0210  (9/9)
Energie:
Shizu Otto Ener_01011/11Shizu Otto Ener_011  (11/11)
Vécu:
Shizu Otto Xp_011030/50Shizu Otto Xp_0210  (30/50)

Shizu Otto _
Shizu Otto I_icon_minitimeMar 27 Juil - 17:04
Fiche de personnage



    Prénom : Shizu
    Nom : Otto
    Surnom : La silencieuse
    Genre : Femme
    Age : vingt années

    Caste : Fouineuse
    Archétype : Rodeuse

    Joueur : Karas

    Description rapide :
    Shizu est une jeune femme assez petite et calme, dont le silence notable la rend particulièrement discrète. Effacée et contrôlée, c’est à croire qu’elle n’est pas capable du moindre sentiment. Son corps fin et agile, inspirant une grande délicatesse, en fait une geisha sollicitée, malgré les cicatrices cachées, tant bien que mal, par le tatouage de son dos. Mais au travers de la pureté de ses iris gris-clairs se cache une facette aussi douce que cruelle, semblable à une ombre qui arpente le sentier de la mort ...



Shizu Otto Shizu_G

Informations

    Description Physique :

    Dans une silhouette fine et gracile, c’est une jeune femme fraiche et calme qui apparait au premier regard. Plus petite de quelques centimètres que la moyenne féminine, de part ses origines asiatiques, c’est avant tout son regard qui prête à attention. En effet, celui-ci est pénétrant, voir troublant, de part ses deux diamants gris-clair qu’elle possède en guise d’iris. Elle arbore une longue chevelure d’ébène tombant jusqu’à mi-dos, mais majoritairement coiffée et nattée tant par le besoin de son travail au temple de la félicité que par soucis de liberté de mouvement. Ses traits de visage fins et délicats font d’elle une véritable gueule d’ange, qui est assurément une des principales raisons de son succès auprès de ses clients. Des lèvres invitantes, dont le sourire semble très communicatif et sont surement une de ses principales méthodes de communication. En effet, Shizu n’est pas bavarde, si elle sait parler, elle semble avoir un blocage qui limite ses propos. C’est aussi ce qui l’a fait surnommé « la silencieuse » au sein du temple de la Fécilité. Outre ce fait, elle possède une peau relativement claire lorsqu’elle n’est pas recouverte de cette poudre blanche imposée par les traditions de geisha. Celle-ci est d’ailleurs loin d’être parfaite, bien que celle soit d'une grande douceur, appréciée de ses clients, elle est abimée par quelques coupures et cicatrices occasionnées par la rigeur de ses entrainements mais c'est surtout celle qui lacèrent son dos, souvenir d‘un passé difficile, qui sont bien visibles. Ses cicatrices qui creusent son dos sont en parties masquées par un immense tatouage, celui-ci prend la forme d’un Phénix qui démarre de sa nuque pour se finir jusqu’à la naissance de son fessier,dessinant à merveille la courbe sinueuse de son dos. C’est un corps exercé et athlétique qui forme ses courbes féminines, celles-ci n’ont d’ailleurs rien d’extraordinaire, mais cela ne la rend pas moins désirable : une courbe de hanche songeuse et un galbe de poitrine modeste qui font le plaisir de certains. La plupart de ses tenues sont des kimonos, de couleurs assez vives imposées par son statut de jeune Geisha. Sa démarche est agile et sûre, peu encline à l’hésitation ou au doute. Au temple, à défaut d’être d’une grande conversation ou de conseils, on la voit majoritairement rendre des spectacles que cela soit en jouant du Koto ou en dansant, arts dans lesquels elle semble exceller, de par la grâce et l’habilité de ses gestes. Après quelques années à y travailler, elle possède quelques habitués, dont quelques bâtisseurs et gardiens du feu qui se sont épris d’elle, que cela soit pour son physique, ses talents de danseuse ou bien ceux de musicienne.
    Mais le soir, son masque et sa tenue de femme de l’art tombent et prennent place à un rôle plus sombre. Vêtue d‘une tenue nuit-noire et le visage masqué par un voile sombre, elle devient une Kinjai, une assassine entrainée dans le but premier d’éliminer les gêneurs du clan des Susano. C’est ici qu’elle exhibe tout son talent, celui de tuer. Silencieuse comme la mort et rapide comme le vent, elle est devenue récemment, une assassine, à part entière, reconnue parmi les siens.

    Description Psychologique :

    Shizu, n’est pas une personne très sociable, cela est certain. Patiente, calme et silencieuse à un tel point que l’on peut se demander si elle est vraiment humaine. Elle semble, en effet, effacée, cachée derrière son regard transcendent et son sourire aimable mais factice, ce qui ne l'empêche pas d'en être pas moins appréciée. En vérité, sa vie passée a été plutôt éprouvante, une vie de fouineur, dans laquelle elle a trop souvent été victime. Peut être s’est elle enfermée sur elle-même afin de plus souffrir. En tout cas, Cela va faire bien longtemps qu’elle a renoncé à ses désirs et à ses espoirs qui semblent s’être littéralement volatilisés. Son travail de geisha tout d’abord, puis ensuite son rôle d’assassin, n’ont pas été un choix qu’elle a pu faire, mais plutôt des places qui lui ont été imposés. Cependant, quelque part, elle en tire une raison d’exister et de s'accrocher à un but à suivre.
    Son entrainement aux arts des Kinjais au sein de la famille des Susano à fortifier son mental mais à également fortement appuyer son asocialité. Apprenant d’un lien réel entre le corps et l’esprit, elle s’est détachée de sa propre personne, au point d’en être quasiment dénuer de sentiments. Pas de peur, ni d’hésitation ou de haine, mais également ni envie ou conscience indépendante. Il en naquit chez elle, une persévérance et un perfectionnisme rare, faisant d’elle une tueuse idéale pour son clan. Certains même, ou du moins l’un d’entre eux, Aseo, la voit comme une envoyée divine. Ce jeune homme a été le mentor de Shizu et en a fini par en tomber amoureux. C’est même lui qui lui a imposé le tatouage de phénix de son dos car il la voit comme une envoyé de Amaterasu, purifiant de sa main les « impurs », leur offrant ainsi une renaissance. En ce qui la concerne, elle n’a que peu de croyance à ce sujet, du moment qu’elle garde sa place au sein du clan. Elle n’a d’ailleurs que peu de foi envers en Amaterasu ou même en Solaar. Sa vie étant plutôt une désillusion, elle préfère bien mieux croire en elle-même et en ses capacités.
    Malgré tout cela, elle s’est trouvée de véritables activités dans le koto ainsi que la danse, elle semble même en tirer une certaine satisfaction. Quand elle ne s’applique pas à son devoir de femme d’art ou d’assassin, elle s’entraine, aussi bien physiquement que mentalement. Elle pratique beaucoup la méditation, capable de rester des heures sans bouger. Il est plutôt rare de la voir sortir dans le ghetto oriental et c’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit du reste de Phénice. La plupart du temps, cela est à la demande de son père adoptif, membre lui aussi de la famille Susano, afin de porter message ou de faire une course pour lui. En vérité, elle sort souvent, mais à l’abris des regards, lorsque la pénombre envahie sur Phénice en revêtant son sombre costume. Elle vit au jour le jour, sans perspective d’avenir, le jour elle travaille au temple de la félicité, la nuit elle arpente Phénice en tant que kinjai. Si elle n’en joui pas, elle se satisfait de cette manière de vivre, de cette place qui lui a été donné, mais peut être un jour trouvera t-elle sa propre voie.

    Histoire :

    Ce soir, je n’étais ni chez moi, ni au Temple de la Félicité, j’étais une invitée discrète chez un prôneur peu scrupuleux et désireux de profiter de la raison de ma présence. Assise dans une pièce sombre éclairée par la légère lueur d‘une lampe à huile, je pouvais contempler la richesse des meubles et des divers objets qui ornaient la salle. Devant la fenêtre, j’y voyais une personne. Une personne que j’avais pris l’habitude de voir jour après jour. Assise à genou, sur ses talons, elle était vêtue d’un kimono maintenu par la taille a l’aide d’un large Obi. Des cheveux d’ébènes coiffés, les empêchant de tomber de tout leur long. Des lèvres d’un rouge saisissant, qui contrastait avec sa peau nacrée. Elle me suivait dans mes propres gestes … un reflet de moi-même … elle était moi, mais je ne n’étais pas elle … elle était un rôle que mon père adoptif m’avait imposé. Après tout, je lui devais la vie, lui qui avait pris sous son aile une jeune fille sans avenir, laisse pour morte après avoir été battue par des gardiens du feu pour si peu de nourriture pour survivre. Cette fille avait vu ces derniers parents mourir par la maladie, trop grande pour bénéficier d’avantage auprès des soupes populaires des nourrisseurs, elle était aussi trop jeune pour travailler efficacement. Et le peu qu’elle pouvait faire était a peine de trouver de quoi se restaurer, la condamnant à voler. L’appel de la survie, dans ce domaine, les hommes étaient capables de grandes choses, les meilleurs comme les pires. Arrêtée pour vol et battue à répétition, elle devait en tirer une leçon. Mais laquelle ? Celle de ne pas se nourrir et de se laisser mourir ? Vint le jour où son petit corps avait atteint sa limite, les marques des coups de fouets offert par les gardiens du feu sur son dos flagellé, étaient de trop. Elle s’écroula, d’épuisement et de douleur dans les ruelles sales de la Première Marche. C’était la fin, elle se laissa immobile dans la boue, sa vie n’avait plus d’importance a ces yeux. Ce jour là, une partie d’elle-même s’était éteinte, décider à se laisser mourir. Mais le destin capricieux en eut décider autrement, car à son réveil, elle se retrouva dans la demeure d’un fouineur. Celui-ci lui proposa nourriture ainsi qu’un toit en échange elle lui appartiendrait. Elle qui s’était convaincue de mourir, il y a peu, c’est au prix de sa liberté qu’elle continua à vivre.

    Je regardais mon reflet dans la vitre, je n’y voyais que l‘image d‘une poupée que l‘on bougeait suivant ses désirs. Mais cette image n’était pas moi, un rôle imposé. Car ce soir là, j’étais venue pour accomplir une mission, une mission qui me garantirait une place au sein du clan qui m‘avait recueilli. Mon regard se leva vers le ciel. Le stallite, lieu mystique perçant le noir-nuage, me permettait d’entre-apercevoir des étoiles aux travers du Noir-nuage, illuminant subtilement la pièce. Puis, une présence vint interrompre ma contemplation, pour se poser derrière moi, dont l’odeur me confirmait que celle-ci avait déjà passé un certain âge. Mais elle ne l’était visiblement pas assez pour en perdre son désir charnel. Je le sentis alors m’enlacer me permettant de percevoir les manches de sa robe blanche. Silencieuse, je m’adossai à lui, la tête partant sur son épaule, signe d’une invitation. L’une de ses mains se fit plus audacieuse et se glissa au travers de mon kimono alors que ses lèvres imprégnaient mon cou. L’Obi glissa et bien vite mes vêtements tombèrent d’eux même à sa suite. Puis, après un moment d’inaction à admirer le tatouage de mon dos par quelques mots, je me sentis allongée. Totalement nue, des baisers sillonnèrent rapidement mon ventre alors que ses mains me touchaient avec insistance. Mon regard partit sur le coté, observant le tableau d‘un des murs.
    J’avais déjà eu l’occasion d’observer mes consœurs pendant leur débats charnels. Elles semblaient apprécier le toucher que leur procurait leur client, au point de les entendre gémir dans leur bras. Chose qui me parut toujours étrange, pour ma part, je ne sentais pas plus que le contact de sa main sur ma peau. Cela n’avait rien de désagréable, cependant, je devais le reconnaitre, mais pas au point d’en gémir. Je ne savais pas vraiment ce qu’il s’était passé en moi, peut être étais je insensible ou peut être que quelque chose était mort en moi depuis longtemps. Je me mis à pousser de courts et légers gémissements, chose que j’avais pris l’habitude de faire afin d’exciter mes clients. Toujours était il, que je n’empêchai rien et le laissa poursuivre l’exploration de mon corps. Alors que ses lèvres remontèrent vers ma poitrine, mes mains se glissèrent dans mes cheveux et vinrent tirer sur le nœud de l’une des attaches qui tenaient mes cheveux les laissant ainsi s’étaler librement contre le sol.

    Mais je ne perdais pas en tête la raison de ma venue, en fait je ne pensais qu’à ça. Mes mains s’enroulèrent de ce fil en acier qui me servait d’attache. Puis, je l’amenai jusqu’au cou de cet homme dont je ne connaissais pas même le nom. D’un geste circulaire et ample, ce câble s’enroula tout autour. L’homme ignorant ne réagît pas de suite, comme aveuglé par le désir que lui invoquait mon corps. Puis sans une ombre d’hésitation, mes mains s’écartèrent l’une de l’autre serrant l’étreinte de l’instrument sur son cou. Sa réaction fut instinctive, il porta ses deux mains à son cou dans un son étranglé de sa gorge. Je l’observais, calmement, essayant de lutter pour sa survie. Il tenta de m’étrangler à son tour de ses propres mains, mais j’en restai impassible et il était deja trop tard. Une dernière expiration. Je vis son regard s’étreindre aux travers de ses yeux bleus, comme on soufflait une bougie. Il était devenu immobile, sans vie et tout son poids pesait alors sur moi. Libérant lentement mon étreinte, sa tête se posa sur ma poitrine dénudée. Je restais immobile, mes bras enlaçant sa tête. Libérant cet outil de mort, je le regardais alors que mes mains passaient dans ses cheveux. Son corps inanimé était encore chaud, son visage marqué par l’effroi de la mort : les yeux exorbités, les sourcils levés, la bouche ouverte. Je lui fermai les yeux et lui détendis les muscles du visage, scellant ainsi ses lèvres. Silencieuse comme a mon habitude, je l’observai cette fois le calme se lisant sur son visage. La mort pouvait ainsi être jolie. Je ne le connaissais pas, mais cela ne devait pas en être autrement. Je devais lui apporter son dernier souffle. Peut être avait il des enfants, une femme ou une place importante, a en jugé par son habitation. Tout ceci n’avait guerre d’importance, pour moi. Je ne regrettais rien, je n’en avais pas de satisfaction, j’avais simplement fait mon devoir, n‘était ce pas là l’ important ? Des gens mourraient chaque jour, tel était le destin de tout ce qui vivait.

    Caressant une derrière fois ses cheveux grisonnants, je le poussai sur le coté afin de me relever. Debout, nue les cheveux tombant jusqu’à mi dos, je regardais la fenêtre et pus m’y voir tel que j’étais. Pas une femme, un outil destiné à être utiliser. Qu’avais-je d’autres ? Rien … rien de plus que ce que je voyais devant moi. Me tirant de mes propres songes je m’avançai vers la lampe afin de l’éteindre. Le moment était venu de disparaitre. Mais lorsque mes yeux revinrent à la fenêtre, c’est n’était plus mon reflet que je voyais, mais une silhouette noire et humaine qui me regardait fixement au travers de la vitre. Toute vêtue de noir, cette personne était intégralement recouverte d'un sombre costume et seuls ses yeux demeuraient visibles. Un regard familier que je pouvais reconnaitre d’entre milles. Celui d’Aseo … il me surveillait, cela ne faisait aucun doute. J’entrepris alors de lui ouvrir la fenêtre. Là, il s’invita en sautant la fenêtre aussi habilement que silencieusement. Face à moi, il tira son masque de tissu laissant son visage visible à mes yeux. Alors que ses yeux me contemplaient de bas en haut, ses lèvres se muèrent en une voix grave et masculine.


    « Shizu … »

    Juste un mot, mon nom, puis ses mains suivirent son regard en se posant sur mes hanches. Remontant doucement de ses doigts caressant la courbe de mon corps dévêtu, je fini par sentir mon visage dans le creux de ses mains. Surement qu’une femme normale en aurait frémis, mais visiblement pas moi, destinée à ce détachement, cette petite mort qui me hantait. Ses yeux me regardaient d’une admiration fanatique et son visage était si proche du mien, tout juste si nos lèvres s’effleuraient. Sans pudeur, je ne réagissais pas, me contentant de me laisser faire et de le regarder à mon tour, avec ce même regard qui me seyait. Il était mon maitre depuis mon arrivé parmi eux, j’avais tout appris de lui, je le respectais. Quant à lui, il avait toujours eu ce regard envers moi. Je ne savais si c’était de l’amour ou de l’admiration, peut être un mélange des deux. En tout cas, j’avais de l’importance pour lui, cela ne faisait aucun doute. Mais je ne pouvais dire a quel point, difficile à cerner. Il ne m’avait jamais embrassé ou j'avais jamais véritablement essayé, juste fureté, contrairement à mes clients du temple qui ne s’en privaient pas et je me demandais bien pourquoi, surement n’était-il pas comme les autres. Peut être avions nous plus de points communs que je voulais me l‘admettre. Encore perdue dans mes songes, Je vis alors un sourire emprunt de fierté alors qu‘il s‘écartait de quelques centimètres de mon visage.

    « Tu es parfaite … sans désir, sans crainte, sans ressenti … si pure … un véritable don pour une tueuse comme jamais j’en avais vu jusqu’à présent … Et a aucun moment je n’ai douté qu’un jour tu parviendrais à devenir l’une des nôtres. Tu as réussi ta dernière épreuve avec brio, tu es maintenant une Kinjai à part entière. Soit la bienvenue parmi nous, dans le royaume de la nuit … »

    Je dessinais ce même sourire et mettant mon bras devant moi je m’inclinai devant lui avant de réponde d'une voix douce mais neutre emprunte d'une légère faiblesse, expliquée aisément, par la rareté de son utilisation.

    « Merci, Maitre Aseo, j‘en suis honorée. »

    « Juste Aseo, dorénavant ... Bien ... il est temps d’y aller »


    J'acquiesçai de la tête, puis je vins à me tourner sans attendre vers mes vêtements sur le sol afin de me saisir de mon attache pour me coiffer les cheveux en vitesse. Lorsque j’eus fini, je sentis mon kimono se poser sur mes épaules, d’un geste du regard sur le coté, je compris que je devais cette attention à Aseo. Un sourire en réponse, j’y passai mes bras pour ensuite me baisser et me saisir de mon Obi, dans le but de fixer le kimono. Revêtant ma cape qui me recouvrait totalement, je me glissai par la fenêtre, suivant Aseo qui avait déjà pris le chemin de la sortie afin disparaitre dans l'obscurité de la nuit. Un dernier regard sur l’homme qui venait de mourir cette nuit. Il était la mémoire de mon nouveau statut de Kinjai, devenu immortel dans mon esprit. Ce soir un chapitre venait de se terminer, mais un autre venait tout juste de commencer …


Informations supplémentaires


    La Silencieuse :
    Comme dit précédemment, c'est le surnom que l'on lui donne au sein du temple de la félicité, pour la faible conversation qu'elle est capable d'offrir. Mais c'est aussi par son calme et sa sérénité visible qu'elle inspire qu'elle porte ce surnom. C'est presque a croire que rien ne pourrait la faire s'ébruiter, comme si un cœur de cristal s'était logée dans sa poitrine, incapable de ressentit ou de sentiment.

    Balades à la Première Marche :
    Ces derniers temps, Shizu semble s'être fait plus présente au sein de la Première Marche. Son père adoptif Aizo Otto, dirigeant d'une famille modeste fouineur, semble être plus actif ces derniers temps. Ce n'est pas un secret que cette famille soit intégrée au Clan des Susano. Les rumeurs parlent de trafics et de négociations suspicieux, dont Shizu en serait le messager. Vérité ou mensonge ... C'est un fait que la fille d'Otto ne sortirait pas seule du Guetto Oriental sans bonne raison.



Caractéristiques

    Statut : Larve

    Prestance : 1
    Habilité : 4
    Résistance : 2
    Hargne : 3
    Trempe : 4

    Compétences :

    Fouineur :
    Ce sont les rois de la survie et de la débrouillardise, chacun à réussit à faire sa place malgré la dangerosité du milieu. Ils gagnent +1 à leur action lorsque la situation devient périlleuse pour eux.

    Rodeur :
    Vous êtes un as lorsqu'il s'agit de commettre des larcins, +2 en HABILITE pour toutes actions les concernant.

    Esprit du Kinjai :
    La maitrise du lien entre l’esprit et le corps est primordiale. En se concentrant, au prix d’un point d’énergie, Shizu acquiert un bonus de +2 en HABILITE à une action physique.

    Possessions :

    Corde
    Grappin
    Poignard courbé

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Sombre-terre

Messages : 187
Date d'inscription : 12/05/2009

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Vécu:
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Shizu Otto I_icon_minitimeSam 31 Juil - 20:27
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